Avant le coffrage du béton, le contrat d’entreprise
Coffrer du béton peut s’avérer une tâche banale. En signant un contrat d’entreprise avec l’entrepreneur général, on s’évite quelques soucis. La situation s’applique pour toutes tâches de la construction.
Selon l’organisme sans but lucratif Éducaloi, l’entrepreneur qui signe un contrat s’engage à faire preuve de prudence au travail, agir dans le meilleur intérêt du client, compléter les travaux selon les délais et suivre les règles en vigueur dans son champ d’activité. Le contrat procure également à l’entrepreneur le contrôle et la direction des travaux.
Du béton solide
Comme un plancher en béton pour un garage, le contrat d’entreprise se veut la base solide d’une entente entre deux personnes. Avant de conclure le contrat, ou de laisser entrer dans la cour arrière le coffrage dans lequel sera coulé le béton, Éducaloi explique que l’entrepreneur doit fournir au client l’information pertinente en lien avec les travaux, comme leur nature, leur durée et les ressources nécessaires. Pendant que le béton sèche ou à toute autre étape des travaux, le professionnel doit, à la demande du client, l’informer de l’avancement du projet et des tarifs engendrés à ce moment précis. En tout temps, il doit de plus aviser le client de tout dépassement de coûts, du changement de la nature des travaux ou des délais.
La signature d’un contrat d’entreprise oblige l’entrepreneur en construction générale à fournir les outils et les matériaux. Le client peut aussi fournir les biens, à la suite d’une entente entre les deux parties. L’entrepreneur est libre de confier certaines tâches, entièrement ou en partie, à un sous-traitant.